Des photos, il y en a plein. Mais elles sont dans la bécane de Luc, et celle-ci est chez le réparateur, car le premier décembre l’écran est devenu tout noir (virus, carte système, … ????). Actuellement, on récupère les données du disque dur avant d’opérer.
Pourtant des photos, il y en avait en pagaille.
En premier, l’anniversaire de Claude avec le séjour à Barcelone, à cheval sur octobre et novembre, avec ses copines de lycée. Puis, le week-end de notre retour catalan, ce fut la famille David (les anglais, les lyonnais et bien sûr les montpelliérains) qui vinrent « anniversairer » au Canton. Mais, ce ne fut pas tout, car le week-end encore suivant, ce fut les Introvigne-Mazloum (donc les Toulousains) qui vinrent voir la quinquagénaire.
Donc, ce fut la fête à Claude tous les week-end, et cela ne fut pas fini, car le week-end encore suivant du suivant, nous fêtâmes (les montpelliérains étant revenus) les 15 ans de Jeanne qu’elle avait déjà fêté la veille et l‘avant veille avec ses copains-copines.
Alors des photos de bougies sur des gâteaux, il y en avait en pagaille (peut-être que vous allez y échapper).
Morale de l’histoire : heureusement que les anniversaires ne se fêtent pas tous les ans (du moins pour les décades).
En second, il était prévu un reportage sur l’avancement des « granges » avec la phase 14-18 (quand on a enlevé le toit, cassé des murs soit pour récupérer des encadrement soit pour poser ces encadrements récupérés) qui met le moral à zéro (avant cela ressemblait quand même à une maison, mais maintenant cela n’est plus très loin du tas de ruine), la phase « reconstruction » (remontée et arase des murs, pose des linteau, …) et enfin la phase « début de couverture du toit » où les volumes apparaissent et où on se dit « tiens, cela va avoir de la gueule ».
Le reportage photos était aux petits oignons et il serait, là, dommage que vous y échappiez.
En troisième, nous pouvons vous conter la course contre la montre que nous devons faire pour répondre aux demandes de nos bâtisseurs (Eh, Madame, où positionnons nous la sortie de la gaine de la hotte de la cuisine ? Eh, Monsieur, où positionnons nous la souche de la cheminée pour votre poêle ?, …).
Alors, nous courrons les cuisinistes (heureusement, le patron du « Arthur Bonnet » d’Ales, avec toutes les contraintes que nous imposions, nous a pondu en moins d’une semaine une superbe cuisine. Avec son logiciel 3D, nous y étions) et avons encore en cours la problématique du poêle.
En effet, contrairement à ce que nous pensions, il n’y a pas de poêle (en tant que tel) qui ont un système de récupération de chaleur. Il faut passer par des systèmes d’insert dont le foyer est entouré d’un certain volume d’air, et c’est de ce volume que part l’air chauffé, via des gaines avec moteurs aspirants ou soufflants, vers les pièces à chauffer (une loi vient de sortir pour interdire des bouches de sortie dans les chambres à coucher : principe de précaution contre l’oxyde de carbone ou lobbying d’EDF ????).
Nous sommes sur la piste d’une solution (et là, de toutes les façons il n’y avait pas de photos sauf les crobars de Luc).
Enfin, pour simplifier les choses, notre Renault Scénic a rendu l’âme un soir près de Quissac (Claude revenait de Montpellier) courroie de transmission cassée (la révision était prévu la semaine suivante pour le départ en Angleterre). Ce brave Scénic avait 9 ans et 9 mois avec seulement 145 000 km (et nous comptions bien le conserver encore 3 ou 4 ans)
Petit message à tous : une courroie de transmission, c’est 80 000 km OU 5 ans (nous, c’était 5 ans qu’il aurait fallu surveiller).
Nous avons tout de suite pris rendez-vous pour le Kangoo car il n’a que 65 000 km mais 7 ans. Nous avons eu peur de rouler avec notre alors unique voiture pendant 2 jours avant que la courroie soit changée (le garagiste nous a dit qu’elle était vraiment en fin de course : vérité, blague ou intox ???).
Avec l’aide de Yann, le successeur du Scenic1 ne pouvait pas être le Scénic 3 (trop grand et trop cher), mais pouvait être le « grand Modus » de Renault ou le « C3 Picasso » de Citroën.
Après un comparatif sérieux sur papier et 2 heures de discussion et d’essai des modèles chez les 2 concessionnaires, le gagnant est …….le « grand Modus » (nous allons en prendre livraison mardi prochain à Alès).
Donc, globalement, comme vous le voyez, on ne s’ennuie toujours pas trop au Canton.
1 commentaire:
C'est agité !
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