04 mai 2009

et maintenant, le mois d'AVRIL


Incroyable, du jamais vu, deux mises à jour "nouvelles du mois" effectuées dans la même journée. je me demande si je ne vais pas "faire le mois de Mai" dans la foulée (Nb : pour certain persifleur, ne faire que 2 mises à jour de blogs dans une journée est, pour lui, vraiment une "petite journée").

Venons en aux faits...du mois d'Avril. D'abord, nous avons pris des vacances. Pas longtemps (5 jours), mais super agréables et réussies. Nous avons donc loué un gîte à Mèze (sur l'étang de Thau, juste en face du Mont St Clair, là où est enterré le grand Georges) car Jeanne était inscrite à un stage de kite-surf. Avec Blaise, Luc faisait du tennis de table et aussi du vrai tennis (car Blaise voulait essayer). Pendant ce temps, Claude ...révisait son concours d'IUFM
L'eau était "baignable" et les restaurants du port plus que parfaits (ce n'est pas le tourisme de masse).

Et, bien sûr, Jeanne était la mascotte du groupe (la seule jeune fille, vous pensez ...)


Et puis, ce fut Paques et l'arrivée des "grands" et des "petits", ce qui fit une joyeuse maisonnée avec de superbes flambée dans la cheminée (d'une part, Yann était là, et, d'autre part, le temps parfois plus que maussade incitait à se regrouper prés de l'âtre).
Evidement, personne n'a loupé l'incontournable recherche des "oeufs" que les cloches avaient astucieusement cachés.

Enfin, Jean et Taté se sont joints à toute cette smala pour fêter un "bon anniversaire" à tous ceux né en avril (et ily y en a un bon nombre).
















Néanmoins, ce mois d'avril fut assombri par un terrible orage de grèle qui a recouvert le Canton de 4 cm de grelons en moins d'une demi-heure hachant toutes les feuilles et cassant les fleurs des cerisiers, pruniers et fraisiers.

Mars 2009 (avec beaucoup de retard)


OK, les nouvelles n'arrivent qu'en Mai, mais elles arrivent...... à la vitesse de la luge de Jeanne et de ceklle de Claude ....qui ferme la glisse.

Souvenir d'un dimanche ensoleillé sur les pentes du Mont Aigoual.


Pour finir la journée, ce fut à celui qui descendrait le mur le plus vertical. A la fin, c'était presque de la chute libre.



La neige est aux alentours de 1300 m, et au dessous, c'est toujours la merveille des serres et vallats cévenols, vue dont nous ne nous lassons pas, Claude et moi.

Le mas sort de l'hiver et s'entoure de fleurs, puis c'est la récolte des premières asperges : tout cela sent le printemps.


Et puis, il y a toujours la descente à la mer (avec les parents et la soeur d'angleterre), avec cette méditerranée qui invite à la baignade (encore un peu trop fraiche)